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Pour pouvoir imprimer en 3D FFF chaque couche par-dessus la précédente, il est habituel d'utiliser des structures de support imprimées qui servent de base de soutien aux éléments précédents. Ces structures sont connues sous le nom de supports et dans ce post nous verrons chaque type, leurs paramètres de configuration et les problèmes que les supports solubles peuvent présenter.

Il existe un certain nombre de problèmes mécaniques dans les imprimantes 3D FFF qui peuvent apparaître et qui doivent être vérifiés, c'est pourquoi dans ce post nous expliquons les problèmes mécaniques les plus courants et, dans certains cas, comment les éviter ou les résoudre.

Il y a dix ans, l'ingénieur allemand Kai Parthy a lancé LayWood, le premier filament de bois sur un marché dominé par le PLA et l'ABS standard. Kai Parthy a continué à explorer ses intérêts expérimentaux et à élargir sa gamme de produits.

Dans ce post, nous allons parler des imprimantes 3D delta, de leurs avantages et inconvénients ainsi que de leurs différences et similitudes avec les imprimantes 3D cartésiennes. En outre, nous vous présenterons quelques-unes des imprimantes 3D Delta les mieux notées du marché.

L'impression 3D permet de produire des pièces complexes, mais comme toute technologie, elle présente des limites. Ces problèmes peuvent être surmontés en s'appuyant sur des éléments mécaniques tels que des inserts obtenus par des techniques de fabrication traditionnelles.

Le rétrécissement induit par la température se produit dans les matériaux d'impression 3D et varie de 0,3 % à 4,0 %. Il entraîne souvent un gauchissement, une séparation des couches ou des changements de taille. Le choix de l'imprimante 3D appropriée, qu'elle soit ouverte ou avec une chambre chauffée, est crucial pour chaque type de plastique.

Dans toute imprimante 3D FFF, les moteurs pas à pas sont indispensables. Leur tâche consiste à positionner la tête d'impression, ainsi qu'à tirer le filament dans l'extrudeuse. Les problèmes les plus courants concernent le pilote d'alimentation ou la connexion.

La semaine dernière, nous étions présents au salon international de la fabrication additive et de l'impression 3D (Addit3D) qui s'est tenu à Bilbao, où nous avons présenté nos dernières innovations en matière d'équipements professionnels de fabrication additive.

Lorsque l'extrudeuse cesse de tirer le filament, la pression demeure dans la buse, ce qui fait que le plastique fondu continue de s'écouler jusqu'à ce que la pression s'équilibre. Il en résulte des gouttelettes et des fils fins sur la surface de la pièce. Pour atténuer ce problème, les imprimantes 3D FFF utilisent un mécanisme appelé rétraction.

L'adhérence de la première couche est essentielle à la réussite de l'impression 3D. Des facteurs tels que le type de revêtement, les paramètres du logiciel de découpe et la température de base l'influencent. Il est essentiel d'équilibrer l'adhérence ; trop ou pas assez peut entraîner des problèmes.

La tension de fonctionnement la plus courante des appareils à courant continu est de 12 V ou 24 V. Les deux tensions ont leurs avantages, mais le plus important est de faire correspondre la tension de sortie de l'imprimante 3D à celle du hotend, de l'extrudeur, des ventilateurs ou des lits chauffants. La suralimentation ou la sous-alimentation des composants peut avoir de graves conséquences.

Les filaments conducteurs sont idéaux pour fabriquer des pièces ou des composants électriquement conducteurs et pour créer des dispositifs wearables. Sur la base de ses capacités, des résultats aux propriétés bénéfiques pour de nombreuses industries seront obtenus. La société espagnole Recreus s'engage pour ce matériau et propose à l'utilisateur une série de conseils lors de l'utilisation de son filament Conductive Filaflex.